Si la Catalogne n’a pas changé de cap le soir du 14 février dernier, les changements de tête et la nouvelle cartographie des partis politiques présents à la Generalitat risquent de changer considérablement le rapport entre les forces en présence.
À peine engagé, le débat sur la nécessaire hausse du transfert canadien en santé semble dévier sur la pente glissante du vieux film trop souvent visionné. Dommage, car cet air
Marc-André Bédard demeurera une source d’inspiration pour les OUI Québec, parce qu’il était en soi un véritable antidote face à la partisannerie, au désengagement citoyen, à la morosité et au cynisme politique ambiants.
De Jean Chrétien à Justin Trudeau, le cynique ballet des enveloppes fermées et des conditions imposées par Ottawa continue de tenir nos services publics en otage. Un éternel et désespérant recommencement.
Dès sa mise en place, le système de santé canadien a dû s’appuyer sur une forte contribution financière du gouvernement fédéral en raison du partage des pouvoirs et des ressources qui a cours au Canada. Au départ, la contribution fédérale était fixée à 50 % des dépenses. Aujourd’hui, elle n’est…